Le placement d’un pays sur la liste des « pays d’origine sûrs » n’empêche pas le dépôt d’une demande d’asile ni son instruction. Depuis la loi de 2018, il limite cependant le droit à un recours effectif pour les demandeurs d’asile originaires de ces États. C’est dans ce contexte que le Conseil d’administration de l’OFPRA a récemment confirmé la liste établie en 2015, qui comporte 16 pays.